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« Smart mo­bi­lity » : des groupes de tra­vail pour des pro­jets concrets

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Issy-les-Moulineaux – 19 mars 2014 – 

Jeudi 13 mars, l’Hô­tel de Ville d’Issy-les-Mou­li­neaux a ac­cueilli une édi­tion des Ma­ti­nales de l’In­no­va­tion sur le thème des « dé­pla­ce­ments ur­bains à l’ère nu­mé­rique », à l’oc­ca­sion du dé­mar­rage de deux pro­jets eu­ro­péens sur le su­jet au­quel elle par­ti­cipe. Plus d’une cen­taine de per­sonnes ont échangé au­tour des en­jeux liés à la cir­cu­la­tion au­to­mo­bile et aux trans­ports connec­tés.

À l’heure où les villes de­viennent de plus en plus « smart », la mo­bi­lité est un en­jeu stra­té­gique. Une vé­ri­table ré­vo­lu­tion des dé­pla­ce­ments ur­bains s’opère au­jour­d’hui tou­chant tous les ac­teurs du ter­ri­toire (ad­mi­nis­tra­tions, en­tre­prises, ci­toyens, aca­dé­miques).

La ville d’Issy-les-Mou­li­neaux par­ti­cipe à deux nou­veaux pro­jets eu­ro­péens d’in­no­va­tion ou­verte, ECIM et OTN, di­rec­te­ment liés à la pro­blé­ma­tique de la mo­bi­lité et des trans­ports et compte bien ti­rer pro­fit de toutes les pos­si­bi­li­tés of­fertes par le nu­mé­rique sur le ter­ri­toire pour amé­lio­rer la vie quo­ti­dienne de ses ha­bi­tants.

L’in­no­va­tion a un rôle de pre­mier plan à jouer dans l’éla­bo­ra­tion de so­lu­tions adap­tées au contexte lo­cal et parce que la Ville de de­main s’éla­bore au­jour­d’hui, soyez ac­teur de cette in­no­va­tion en construi­sant avec nous une stra­té­gie ga­gnante de Smart mo­bi­lity !

 1.     Flui­di­fier le tra­fic au­to­mo­bile grâce à l’open in­no­va­tion.

Le pro­jet ECIM (Eu­ro­pean Cloud Mar­ket­place for In­tel­li­gent Mo­bi­lity)

Hugo Ker­schot (IS-Prac­tice) a pré­senté ce pro­jet dont l’am­bi­tion est de dé­ve­lop­per une so­lu­tion com­bi­nant les ca­pa­ci­tés d’une pla­te­forme de cloud com­pu­ting avec de nou­velles fonc­tion­na­li­tés fa­ci­li­tant la mi­gra­tion de ser­vices exis­tants et la créa­tion de nou­veaux ser­vices dans le do­maine de la mo­bi­lité et du sta­tion­ne­ment.

Ville-pi­lote, Issy-les-Mou­li­neaux a pour ob­jec­tif d’of­frir de nou­veaux ser­vices utiles aux ci­toyens au­tour des fonc­tion­na­li­tés de sta­tion­ne­ment au­to­mo­bile et de paie­ment  mo­bile.

 

Ecim project from SO_Digital

Phi­lippe Le­rouge, Pré­sident de Pay­By­Phone,  a rap­pelé que son ser­vice de paie­ment mo­bile pour le sta­tion­ne­ment, dis­po­nible à Issy-les-Mou­li­neaux de­puis cinq ans et dans une tren­taine d’autres com­munes fran­çaises, fonc­tionne éga­le­ment pour le par­king et les trans­ports en com­mun, pour louer un vélo à Nice ou ache­ter son titre de trans­port sans faire la queue au gui­chet. Dans le monde, le ser­vice est uti­lisé par plus de 7 mil­lions de per­sonnes dans plus de 200 villes. 

Paybyphone facilite la Ville et le stationnement from SO_Digital

De son côté, Laurent Mi­che­let, Pré­sident de Be­Park France, start up belge créée il y a deux ans, a pré­senté un nou­veau mo­dèle de sta­tio­ne­ment hors voi­rie qui so­lu­tionne les pro­blèmes de par­king dans les grandes villes, en ren­ta­bi­li­sant les places de sta­tio­ne­ment sous-ex­ploi­tées pen­dant les heures creuses (bu­reaux, grande dis­tri­bu­tion, hô­tels…). Après avoir rap­pelé qu’un un au­to­mo­bi­liste passe, en moyenne un an de sa vie à cher­cher des places pour se ga­rer, il re­lève que sur les 500.000 places de par­king que compte la Ville de Pa­ris, 120.000 sont libres en per­ma­nence dans les par­kings pri­vés alors que 97 % d la voi­rie est sa­tu­rée. Plus de 100 aires de par­kings en Eu­rope dont 19 en ré­gion pa­ri­sienne sont au­jour­d’hui équi­pés du sys­tème Be­Park. 

Be park, le stationnement à portée de main from SO_Digital

A Nice, le pro­jet Mov’S­mart, avec son Bou­le­vard Connecté,  a pour am­bi­tion de gé­rer in­tel­li­gem­ment le sta­tion­ne­ment et la mo­bi­lité au moyen no­tam­ment de cap­teurs sans fils qui sai­sissent en temps réel les don­nées de l’ac­ti­vité ur­baine et de la qua­lité en­vi­ron­ne­men­tale. Jean-Louis Fio­rucci, Pré­sident de Think­Glo­bal, rap­pelle que le sys­tème est opé­ra­tion­nel de­puis juin 2013 le long du bou­le­vard Vic­tor-Hugo, grande ar­tère du centre-ville pa­ral­lèle à la pro­me­nade des An­glais, avec 200 cap­teurs ni­chés dans les lam­pa­daires, la chaus­sée ou les bennes à or­dures qui trans­mettent leurs don­nées en temps réel.  Les au­to­mo­bi­listes peuvent consul­ter en temps réel, sur leur smart­phone, les places de sta­tion­ne­ment dis­po­nibles puis payer à dis­tance, no­tam­ment via Pay­by­Phone. 

Mov’smart, gestion intelligente du stationnement et de la mobilité from SO_Digital

Lea­der mon­dial des parc­mètres, Par­keon ré­flé­chit à l’ave­nir de ces bornes en voi­rie, qui pour­raient pro­po­ser à l’ave­nir da­van­tage que la ges­tion du sta­tion­ne­ment. “De­main, un ho­ro­da­teur res­sem­blera à un mo­bile” a pro­nos­ti­qué le Di­rec­teur tech­nique de Par­keon, Yves-Ma­rie Pon­da­ven, venu pré­sen­ter un pro­jet pi­lote “Find me a space”, testé à Issy-les-Mou­li­neaux qui per­met­tra aux au­to­mo­bi­listes de re­cher­cher une place de sta­tion­ne­ment en voi­rie sur leur smart­phone. Cette ap­pli­ca­tion est ba­sée sur l’ana­lyse pré­dic­tive des don­nées de sta­tion­ne­ment en­re­gis­trées par les parc­mètres. 

Parkeon Find me a space from SO_Digital

Di­rec­teur du “pôle Voi­ture connec­tée” chez Orange, Sa­muel Loy­son sou­ligne que ces deux der­niers exemples illus­trent les dif­fé­rentes mé­thodes qui existent au­jour­d’hui pour re­cueillir des in­for­ma­tions : Smart­phones, cap­teurs ou bornes. Avec “Flux vi­sion”, Orange met à dis­po­si­tion les don­nées ano­ny­mi­sées is­sues de ses ré­seaux mo­biles pour ana­ly­ser et com­prendre le flux de mo­bi­lité dans une ville, per­met­tant ainsi de mieux agir sur la cir­cu­la­tion au­to­mo­bile ou de me­su­rer en temps réel le taux de rem­plis­sage des trans­ports pu­blics. On peut, par exemple, ana­ly­ser la vi­tesse et la di­rec­tion de dé­pla­ce­ment d’une masse d’abon­nés pour dé­duire et an­ti­ci­per les risques de sa­tu­ra­tion de zones géo­gra­phiques en temps réel. Au­tant d’in­for­ma­tions à des­ti­na­tion des pro­fes­sion­nels du com­merce, des trans­ports et du tou­risme, d’amé­na­ge­ment du ter­ri­toire ou de géo­mar­ke­ting prin­ci­pa­le­ment. Flux Vi­sion s’ap­puie sur deux tech­no­lo­gies : la don­née pro­duite en temps réel à par­tir de l’ob­ser­va­tion des mo­di­fi­ca­tions de com­por­te­ment du ré­seau (« Le sys­tème est ca­pable d’ana­ly­ser des mil­lions de don­nées par mi­nute ») ou l’ana­lyse des don­nées « his­to­ri­sées » se­lon la du­rée que veut ob­ser­ver le client. 

Orange voitures connectees from SO_Digital

2.   Des trans­ports connec­tés et plus ef­fi­caces ?

Le pro­jet OTN (Open Trans­port Net)

 Autre pro­jet eu­ro­péen sur la Smart mo­bi­lité au­quel par­ti­cipe Issy-les-Mou­li­neaux, Open Trans­port Net a pour am­bi­tion, ex­plique son co­or­di­na­teur, Hugo Ker­schot, de créer un por­tail de ser­vices col­la­bo­ra­tifs dans le do­maine du trans­port, à par­tir d’une va­riété de sources de don­nées ou­vertes (Open Data, Sysr­tèmes d’in­for­ma­tions géo­gra­phiques), pour fa­vo­ri­ser la créa­tion de nou­velles ap­pli­ca­tions utiles aux dé­pla­ce­ments en mi­lieu ur­bain.

Pour Issy-les-Mou­li­neaux, en tant que ville-pi­lote du pro­jet, l’ob­jec­tif est de tes­ter ces nou­veaux ser­vices. A par­tir d’une ap­pli­ca­tion, il sera par exemple plus fa­cile de trou­ver un iti­né­raire et le meilleur mode de dé­pla­ce­ment (la marche à pied, la voi­ture, le vélo ou les trans­ports en com­mun) en fonc­tion d’in­for­ma­tions di­verses re­çues en temps réel. 

Open Transport Net from SO_Digital

Une pre­mière ex­pé­ri­men­ta­tion est ac­tuel­le­ment en cours à Issy-les-Mou­li­neaux avec le pro­jet Zen­bus dé­ployé dans le cadre d’un Ap­pel à Ma­ni­fes­ta­tion de la Ré­gion Ile-de-France en col­la­bo­ra­tion avec la com­mu­nauté d’ag­glo­mé­ra­tion Grand Pa­ris Seine Ouest et la RATP.  Concep­teur du pro­jet, Oli­vier Des­cha­seaux , co-fon­da­teur de JOUL, jeune en­tre­prise in­no­vante, ex­plique le fonc­tion­ne­ment de Zen­Bus, un ser­vice mo­bile d’in­for­ma­tions géo­lo­ca­li­sées en temps réel qui per­met aux ha­bi­tants de voir en temps-réel où se trouve leur TU­VIM, le bus qui des­sert les dif­fé­rents quar­tiers de la Ville d’Issy-les-Mou­li­neaux.  

Zen bus, l’information voyageurs as a service from SO_Digital

Une autre jeune en­tre­prise in­no­vante, pri­mée par la RATP lors de la fi­nale de l’Open­Da­ta­Lab, en oc­tobre 2013, pro­pose un concept ori­gi­nal : “Sha­rette : Et si la voi­ture était un nou­veau mode de trans­port en com­mun ?” L’ap­pli­ca­tion pro­pose sim­ple­ment d’in­té­grer la voi­ture dans le pa­nel des trans­ports en com­mun. Pour son co-fon­da­teur, Gré­goire de Pins, cette ap­pli­ca­tion vient com­plé­ter et élar­gir le ré­seau de trans­port pré­exis­tant en in­té­grant la no­tion de co-voi­tu­rage. Une ma­nière pour les pas­sa­gers de fa­ci­li­ter l’ac­cès aux trans­ports en com­mun et pour les conduc­teurs de ren­ta­bi­li­ser leur tra­jet. Concrè­te­ment, l’ou­til cal­cule des iti­né­raires com­bi­nant les tra­jets des conduc­teurs avec l’offre de RER, Mé­tro, Tran­si­lien, Bus et Tram­way.

Pour Jé­rôme Cou­tant, res­pon­sable du nu­mé­rique à la So­ciété du Grand Pa­ris, char­gée de la construc­tion du Grand Pa­ris Ex­press, le nou­veau ré­seau de mé­tro au­to­ma­tisé avec ses 205 ki­lo­mètres de lignes de mé­tro et 72 nou­velles gares, les gares de de­main (à ho­ri­zon 2020-2030) au­ront pour vo­ca­tion d’être des “tiers lieux” connec­tés pour fa­vo­ri­ser le tra­vail no­made et l’usage des loi­sirs sur smart­phone, en ré­pon­dant aux quatre ré­vo­lu­tions nu­mé­riques en cours : la ré­vo­lu­tion mo­bile, la ré­vo­lu­tion op­tique, la ré­vo­lu­tion data et la ré­vo­lu­tion so­cié­tale. Un ap­pel à ma­ni­fes­ta­tion d’in­té­rêt a été lancé au­près des ac­teurs de l’in­no­va­tion pour ré­fle­chir aux ser­vices de de­main. Les 115 contri­bu­tions re­çues sont en cours d’ana­lyse et fe­ront l’ob­jet d’une res­ti­tu­tion pu­blique dans les pro­chaines se­maines.  

Les enjeux du numérique pour le grand paris express from SO_Digital

Les ex­ploi­tants de trans­ports col­lec­tifs constatent que les voya­geurs sont de plus en plus de­man­deurs de connec­ti­vité, sou­ligne Va­lère Pel­le­tier, di­rec­teur du pôle “trans­ports pu­blics” chez Orange en pré­sen­tant le pro­jet dé­ployé de­puis sep­tembre 2013 à Nantes où le Wifi ins­tallé dans les bus per­met de trans­for­mer le “temps perdu” en “temps utile”. Avec cette offre de Wifi 4G gra­tuit, une pre­mière en France, l’ex­ploi­tant du bus dé­montre que le trans­port col­lec­tif est plus avan­ta­geux que la voi­ture pour se rendre au tra­vail, y com­pris lors­qu’on ha­bite en sec­teur pé­ri­ur­bain. 

Orange – Connectivité dans les transports publics from SO_Digital

Pour conclure cette Ma­ti­nale de l’in­no­va­tion dé­diée aux dé­pla­ce­ments ur­bains à l’ère nu­mé­rique, An­dré San­tini, Dé­puté-maire d’Issy-les-Mou­li­neaux, a rap­pelé que “l’en­gor­ge­ment crois­sant des routes n’est plus ac­cep­table” et que “la mul­ti­pli­ca­tion des alertes à la pol­lu­tion at­mo­sphé­rique dans nos grandes villes doit nous pous­ser à agir plu­tôt qu’à gé­mir”. Ci­tant une ré­cente étude réa­li­sée par la so­ciété d’info-tra­fic amé­ri­caine, In­rix, et pu­bliée par Le Fi­garo, dé­but mars, qui si­gnale que les Fran­çais avaient perdu 35 heures l’an der­nier dans les bou­chons, un chiffre qui monte à 55 heures pour les Pa­ri­siens, alors que le Fran­ci­lien qui a le mal­heur d’em­prun­ter le pé­ri­phé­rique entre la porte de Saint-Cloud et la porte d’Or­léans – tron­çon le plus conges­tionné du pays – aura perdu 77 heures dans sa voi­ture, An­dré San­tini rap­pelle qu’à Issy-les-Mou­li­neaux, le tra­fic de tran­sit, qui re­pré­sente la moi­tié du tra­fic au­to­mo­bile aux heures de pointe, dé­bouche sur ce tron­çon le plus conges­tionné du pays ou, de l’autre côté, sur la Na­tio­nale 118, l’un des trois axes les plus fré­quen­tés aux heures de pointe. “C’est d’une vi­sion glo­bale dont nous avons be­soin car, bien évi­dem­ment, le pro­blème ne s’ar­rête pas aux fron­tières ad­mi­nis­tra­tives de nos com­munes”.

Et “la ré­ponse ne peut se li­mi­ter à des me­sures tra­di­tion­nelles, comme l’élar­gis­se­ment des in­fra­struc­tures rou­tières exis­tantes. L’in­no­va­tion a un rôle de pre­mier plan à jouer dans l’éla­bo­ra­tion de so­lu­tions adap­tées” pour­suit-il, en rap­pe­lant qu’Issy a été la pre­mière ville fran­çaise à tes­ter le paie­ment du sta­tion­ne­ment par té­lé­phone mo­bile en 2004 puis à l’avoir gé­né­ra­lisé, et à avoir testé, il y a trois ans, un sys­tème de gui­dage sur smart­phone pour trou­ver une place de sta­tion­ne­ment. So­lu­tion qui a été, de­puis, dé­ployée dans les par­kings de grands centres com­mer­ciaux comme Vé­lizy 2 ou Parly 2.

Sou­hai­tant “une nou­velle étape am­bi­tieuse pour dé­fi­nir en­semble une stra­té­gie in­no­vante pour flui­di­fier et amé­lio­rer les dé­pla­ce­ments en Ville”, An­dré San­tini a lancé un ap­pel aux ac­teurs de l’in­no­va­tion de Grand Pa­ris Seine Ouest pour s’in­ter­ro­ger sur la place des trans­ports pu­blics dans la ville nu­mé­rique à par­tir de quelques ob­jec­tifs simples :

  • Ré­pondre aux at­tentes des usa­gers : plus d’in­fos en temps réel sur les ho­raires, les per­tur­ba­tions éven­tuelles sur le tra­jet, des pré­vi­sions de temps de par­cours fiables uti­li­sant dif­fé­rents modes, de la marche à pied aux trans­ports en com­mun ;
  • Fa­vo­ri­ser la col­la­bo­ra­tion entre tous les ac­teurs concer­nés, no­tam­ment entre pu­blics et pri­vés, mais aussi avec des uti­li­sa­teurs qui de­viennent eux-mêmes des pro­duc­teurs d’in­for­ma­tions qui se­ront uti­li­sées par les ges­tion­naires des ser­vices ur­bains ; 
  • Di­mi­nuer l’usage de la voi­ture in­di­vi­duelle dans l’es­pace pu­blic : si l’offre est adap­tée aux be­soins de dé­pla­ce­ments des ci­toyens, c’est un ob­jec­tif at­tei­gnable.
  • Veiller à dé­ve­lop­per des sys­tèmes in­ter­opé­rables fon­dés sur des normes ou­vertes et pu­bliques,  ac­ces­sibles sans au­cune dis­cri­mi­na­tion à tous les ac­teurs et uti­li­sa­teurs d’ap­pli­ca­tions et de ser­vice, 
  • Veiller à pro­té­ger les don­nées per­son­nelles pour pré­ser­ver la vie pri­vée des uti­li­sa­teurs, 

Bref, a-t-il conclu, “tra­vailler dès au­jour­d’hui sur les fon­da­tions de la smart city, ville connec­tée où les tech­no­lo­gies nu­mé­riques, om­ni­pré­sentes, nous per­met­tront de gé­rer plus ef­fi­ca­ce­ment la cir­cu­la­tion de l’in­for­ma­tion, de l’éner­gie comme des dé­pla­ce­ments”.

 3.     Des groupes de tra­vail pour de­ve­nir des ac­teurs de l’in­no­va­tion.

Des groupes de tra­vail se­ront or­ga­ni­sés dans les pro­chains mois afin de :

– Construire avec vous une stra­té­gie de Smart mo­bi­lity, en adop­tant la mé­thode des “Li­ving Labs” eu­ro­péens ;

– Dé­fi­nir les modes de col­la­bo­ra­tion pos­sibles dans le cadre des pro­jets eu­ro­péens ECIM et OTN ;

– Ima­gi­ner des ser­vices réa­listes et mettre en place des scé­na­rios concrets qui cor­res­pondent aux at­tentes des dif­fé­rents ac­teurs du ter­ri­toire;

Si vous sou­hai­tez par­ti­ci­per à ces groupes de tra­vail, merci d’adres­ser un cour­riel à is­sy­me­dia@ville-issy.fr

Pro­chain ren­dez-vous des Ma­ti­nales de l’In­no­va­tion :

  • Jeudi 19 Juin 2014 au Cube : “Créer des ap­pli­ca­tions à par­tir de l’open data, est-ce vrai­ment si fa­cile ?”. 
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